Sournoise soumission familiale plantée jusqu’à mes os au moyen de ses violences,
Z, fin d’alphabet, comme une vie déjà partie, loin et vite – je n’ai rien vu !
Wagons lassants de vieillesses pour ces souvenirs et ces rancœurs âpres et désolées
A savoir quand j’oserai l’écarter de mes manies, mes réflexes, mes cruautés.
Je ne veux pas de vos vies mensongères, pauvres ignorants que vous êtes sous cette lumière crue ;
Dans le sommeil sa morsure est bien plus amère : nécessité de déchéance –
Avec ou sans moi vos yeux s’ouvriront chaque matin sans que le sentiment vous effleure,
Souveraine présence que je me surpris à tuer cent fois l’an il me semble
Angoisse déconcertante de l’enfant insatisfait – rien n’est parfait !
Rouge, enfin cette couleur qui décidément me dominera. Je suis un corps perdu
Dans une foule qui cache avec moi cette détresse rongeant mon âme sans vertu.
Ainsi, éloignez-vous de mon être sans conscience apparente car écartelée
Ne perdons plus ces heures sous la certitude que je guérisse, que jamais plus je ne tremble :
Nous ne mourrons pas ensemble, Bien sûr, je partirai la première.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire